Résumé : En France, les « mouvements sociaux » renvoient souvent, dans le langage commun, à une réalité négative, synonyme de protestations sociales, qui seraient soit le produit principal du corporatisme de certains corps de métier (les « cheminots »), soit la voie que choisissent d’emprunter les salariés afin de réagir face à des situations désespérées comme les fermetures sauvages d’entreprises ou les délocalisations massives. [Premières lignes de l'article]
Damon Golsorkhi, Henri Bergeron, Patrick Castel, Rodolphe Durand, Bernard Leca. Mouvements sociaux, organisations et stratégies. Revue Française de Gestion, Lavoisier, 2011, 8 (217), pp.79 - 91. ⟨hal-01299752⟩