Que reste-t-il du vote de classes ? Le cas français - Sciences Po Accéder directement au contenu
Chapitre D'ouvrage Année : 2004

Que reste-t-il du vote de classes ? Le cas français

Résumé

La classe sociale est avec la religion la variable "lourde" dont l'influence sur le choix électoral a été le plus étudiée, surtout en Europe où les partis se sont construits sur des clivages de classe. Ce modèle explicatif du « vote sur clivage » a été remis en cause au début des années 70 au profit des modèles stratégiques insistant sur l'individualisation des électeurs et l’influence accrue de l'offre électorale (enjeux, candidats). Le cas français, étudié à partir des enquêtes post électorales du Cevipof (1978-2002) montre la montée d’un vote trans-clivage (pour le FN) et des réalignements de classe (évolution à gauche des salariés moyens à gauche, à droite des ouvriers) dessinant de nouveaux clivages (indépendants /salariés, public/privé).
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hal-03462311 , version 1 (01-12-2021)

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Citer

Nonna Mayer. Que reste-t-il du vote de classes ? Le cas français. Jean-Noël Chopart; Claude Martin. Que reste-t-il des classes sociales ?, École des hautes études en santé publique, pp.261 - 269, 2004, 9782859528683. ⟨hal-03462311⟩
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