Le paradoxe hongrois : défense de la chrétienté versus refus du message papal universaliste - Sciences Po Accéder directement au contenu
Rapport (Rapport De Recherche) Année : 2019

Le paradoxe hongrois : défense de la chrétienté versus refus du message papal universaliste

Résumé

En Hongrie, les recensements offrent une première base pour percevoir les affiliations confessionnelles : en 1930 deux tiers de la population est catholique dont 2,3 % sont gréco-catholiques. La part des Réformés (20%), des Luthériens (6 %) et des Juifs (5 %) diminue en raison des nouvelles frontières telles que fixées par le traité de Trianon (1920). Par comparaison, en 1949 l’Holocauste des Juifs hongrois ramène la population juive à 1,5 %. Toutefois, la Hongrie est un des rares pays où une minorité juive significative a perduré. Sur la même période, le poids démographique des autres groupes religieux a évolué moins drastiquement : 70,5 % de Catholiques, 21,9 % de Réformés, 5,2 % de Luthériens et seulement 0,2 % de non affiliés religieusement (absence de leur confession parmi les choix offerts ou refus d’affiliation)...

Mots clés

Fichier non déposé

Dates et versions

hal-03471437 , version 1 (08-12-2021)

Identifiants

Citer

Paul Gradvohl. Le paradoxe hongrois : défense de la chrétienté versus refus du message papal universaliste. [Rapport de recherche] Centre de recherches internationales; Groupe Sociétés, Religions, Laïcités. 2019, pp.en ligne. ⟨hal-03471437⟩
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