Résumé : Les partis de droite n'intéresseraient que peu, du moins les
chercheurs. Le constat est largement partagé, au point où l'un des
derniers ouvrages comparatifs sur la question soit issu d'un colloque
portant sur "l'état de la gauche" à la fin de la présidence de François
Mitterrand (Wilson, 1998). Pour reprendre les termes de F. Wilson,
"it struck me as unusual that academics, including me, would spend
so much time and nk on parties that governed by exception rather
than on the center-right parties that usually dominate politics in
Europe" (Wilson, 1998, vii) (...).