Désarroi au parti socialiste (table ronde)
Abstract
Colère des militants, impuissance des cadres, obstination des « éléphants », sarcasmes des médias : le parti socialiste ne s’est toujours pas remis de l’élection présidentielle. Une convalescence si longue alerte sur l’état général du malade : au-delà des questions de personnes, il faut donc se demander quelles contraintes et quels impensés enferment le parti socialiste dans ses querelles intestines et l’empêchent de parler à la société française.