Résumé : Les archives ont déjà fait couler beaucoup d’encre grâce aux archivistes euxmêmes, avec leur propre littérature technique et théorique, et grâce au monde académique. À commencer par les historiens, utilisateurs singuliers qui ont tantôt porté un regard esthétique sur la relation au document, tantôt critique
sur les conditions d’accès à leur communication quand ils n’interrogent pas l’histoire et la variation du lieu d’archive. (Premières lignes)