Résumé : L'ouvrage d’Arnaud Esquerre participe de ce que l’on peut considérer comme une tentative française de refondation de ce qui a été traditionnellement appelé « sociologie de la mort ». L’auteur prend soin de préciser le caractère trouble d’une notion comme la mort et préfère s’intéresser à un objet concret, matériellement situable par le chercheur et visé par le droit : les restes humains [Premières lignes].
Lucas Guffanti. Compte rendu de "Les os, les cendres et l'Etat" par ESQUERRE, Arnaud, Paris, Fayard, 2011. Revue Francaise de Science Politique, Fondation Nationale des Sciences Politiques, 2012, 62 (4), pp.721 - 722. ⟨hal-02405541⟩