, sqq. (19) P. CHAMEY, z Les comites d'entreprise en Angleterre , Droit social, juillet-aofit 1945 Lcs relations cetrc patrons et ouvriers dans l'Angleterre d'aujourd'hui, Paris, Librairie Marcel Riviere (52) M. SALVATI, B. GROPPO, z Anciens et nouveaux instrwnents... , art. cit. (53) J. LERUEZ, Planification et politique en Grande-Bretagne (57) Cf. C. ANDRIEU, < Le financement des investissemcnts entre 1947 et 1974: trois bclairages sur les relations entre le MinistFre tes Finances, I'Institut d'Emission et le Plan, cit dans J. LERUEZ, Planilicatioo .., op. cit., p. 48. (56) Cf. E. LANGER, LeS nationalisations en Autriche H. RoussQ (dir.), Dc Monnct d Massi58) Cf. J. BouvIERt < Limites et aleas dc l'investissemene La Fransc ct l' rcs-gacrrc: au tournant dc la modernisat{on59) Cf. M. MARCURAZ, . Autour des accords Blum-Byracs: Jean Monact cntre le consensus rwational et le consus atlantique Thc MarshaX plan: a retrospective, pp.174175-218, 1946.
, etait-on trompe sur la signification des reforrnes de structure ? Au-dela de leurs imperfections multiples et inevitables, les nationalisations subissaient le jugement simultanement negatif et positif qu'encourent souvent les institutions creees pour repondre a une aspiration de fond. Chez beaucoup, l'ideal nationalisateur representait en fait la traduction abstraite, discursive et donc transmissible, d'un sentiment brut d'exploitation qui ne se communique pas. En ce qu'elle supposait la cesure du temps, la distinction des fonctions, l'emiettement de l'aspiration entre des dizaines d'aspects diversJ l'institution liberatrice ne pouvait que decevoir ceux qui conforldaient esperance, programme et realisation
, avec le consentement des syndicats: la technologie, les syndicats et la direction a EDF, pp.81-96, 1946.