Six mois après le 11 mars, le Japon en perdition ?
Abstract
Au lendemain du tsunami du 11 mars dernier, la dignité et le courage des Japonais ont fait l'admiration de l'Occident. Puis est venu l'étonnement, devant l'accumulation de fautes qui a causé la catastrophe nucléaire de Fukushima (mépris des règles de sécurité, faillite des organismes de contrôle vassalisés par le lobby nucléaire, panique à la centrale le jour du cataclysme). Aujourd'hui, sur fond de rancunes personnelles qui déchirent le parti démocrate japonais (PDJ) au pouvoir depuis 2009 et alors que le Premier ministre vient de changer pour la sixième fois en six ans, l'incompréhension domine devant ces divisions, dans un pays où l'union nationale semblerait de rigueur (...).
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Political science
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