, Julien)-5 (Pomponius) ; 07.1.12.3 (Pomponius) ; 07.1. 68 pr (Brutus), Labéon, issue.4, pp.2-3
, & 5 ; sources épigraphiques ( CIL, VI, s., 4423, 6369 S
, 330- Ainsi, Colum. 1,7,1. Des chaînes spéciales étaient prévues pour pré~ venir les tentatives de fuite (E. SAGLI0, Campes, DSDA I, p. 1428, THE- DENAT, vol.1111768, p.431
, Slave Systems, cit., p. 76 s, 331- Colum. 1,9,4 s. M. WEBER, Die romische Agrargeschichte in ihrer Bedeutung für das Staat -und Privatrecht, pp.52-55, 1891.
, Lavoro servile, cit., p. 30. 333- Cat. 56, Plaut., Hostel. Tibull, vol.1, issue.742
, II,2,4 ; Colum., 1,6,3 ; 7,1; 1,8,16 s, etc. ; App~, B.C., IV, vol.118019, issue.1116, pp.36-334, 1966.
, ~nt d'actes juridiques. l -L'esclave objet d'acte juridique De nombreux textes concernant ce problème ont été cités à propos des formes d'acquisition et d'exploitation de la main-d'oeuvre servile
, supra n. 7, première partie 591- Cf. supra n. 8, première partie. 592- Cf. supra n. 9, première partie. 593- Cf
, 20 pr ; D Il.3.14.2 ; DIA.I. ; D 14
, Il peut Bussi fBire l'objet d'une actio ad alla storia della comproprietl romana in etl classica, Naples (1958) un p!oblème particulier est posf par l'affranchissement d'un esclave commun ; cet eifranchissement n'est valable 1 l'~poque classique que s'il est effectuf par tous les copropriftaires de l'esclave (cf. M. BRETONE, op. cit., p. 140 s. ; A. BERGER, Encycl. Diction., cit., p. 577), sans quoi est appliqu~ le ius adCrescendi, c'est-A-dire que la part, dans l'esclave, de ceux qui n'ont pas consenti 1 sa libert~ se trouve accrue 580 ; VACCARO-DELOGU, L'accrescimento nel diritto ereditario (1941) ; U. ROBBE, lus aderescendi e la 8ostituzione volgare, (1947)~ C'est seulement 1 l'époque post-classique , par une pouss~e importante du favor libertatis, que le consente~ ment d'un seul des copropri~taires suffira 1 l'affranchissement d'un esclave commun (cf Communem servum unus e~ sociis vinciendo fut:u1'ae Ubertati' non nDcebi tJ, affranchi peut également être commun :"ainsi 8'il est affranchi par plusieurs mattres ou assigné 1 plusieurs enfants du patron, pp.526-434, 0195.
, p. 405 ; Caius, Inst., 4, 5 ; 17) ; sur cette dis~inc tion, voir allssi A. GUARINO, Diritto privato romano, cit, p.211
, 8.42 ; 1) 22.1.2 ; Tryphoninus D .43, p.19
, 252 s. ; sur le concept d'hsreditas iaaene Diritto privato romano. cit.'. p. 303 s. ; GIOFFREDI. Osservazioni sulla dottrina romana dell'eredità giscente s. ; U. ROBBE, La hereditas iacet e il significato della hereditas in diritto romano, XX + 616 p.), cr de P. LEUREGANS, pp.486-285, 1937.
, (Pomponius)-24 ; D 16.3.7 pr ; Modestin D 16.3.23. Sur le ssrvuB dBpositus NNDI
, VUs pignera1 s. Sur pignus et hypotheca, cf. A. GUARINO, Diritto privato romano . cit .? p. 680 s. ; PALMIERI. Ipot~ca, (dir. rom.) in NNDI, p.281
, 150 s. Bien que devant être considêrés de manière unitaire. le pignu8 semble plus ancien que l'hypotheca , cf. A. GUARINO, op. cit.,p. 680, n. 70.1; A. BISCARDI, Die mehrfache Verpfindung einer Sache vom attische bis zum sp~tromischen Recht, ZSS 86, pp.90-91, 1969.
, Hominem aertum pro te dari fideiussi; sur la fideiussio. v. A. GUARlNO, Diritto privato romanq, cit .? p. 758 8. 615- Paul D 13.5.12 ; D 13.6.21. Le constitut est la convention par laquelle une personne. appelée constituant. s'engage. sans l'emploi de fryrmes déterminées. ~ payer une dette préexistante, soit sa propre dette, soit celle dtautrui. R. MONIER, Droit romain, cit II. p, vol.137
, 3-4-5-8-9-10-11-12 ; D 30.86 pr-I-2, pp.30-91
, 43 pr-I ; D 30.116.2-3 ; Scaevola 0 2
, (Alfenus) ; 0 34.2.7 ; 034.3.25 (rescrit d'Antonin le pieux) ; 034.4.15 ; 0 34.4.26 pr ; 0 34.4.27 pr-I ; 0 34, Africain
, -5 ; 0 40.7.22 pr-I-2 ; 0 40.7.41 pr (Labéon)-I (Labéon ) ; 040.7.42 (Labéon), p.40
, Julien)-5 (po~ponius)-6 (Julien)
, Po~ponius)-4 (Julien)-5 (Julien) ; D 7.1.15, Labéoo, pp.1-2
, Aristo)-2-3 ; D 7, Labéon, vol.121
, Cassius) ; 0 40.7.40 pr-I
, 5-6 ; 0 15.1.48 pr-I ; D 15
, Julien) ; D 9.2.13 pr-I (Julien}-2 (Celsus}-3 -I, pp.9-11
, 3.3 pr-I ; D Il.3.5 pr-I-2-3-4 ; D Il, Julien) Neratius
, 4.1 pr-2 (epistuZa de Marc-Aurèle et Commode)
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/in2p3-00019944
, Africain (D 47.2.61 ; AnaiZZa fugitiva quemadmodUm sui furtum face~e intellegitur) où le juriste assimile la fuite au furtum j..i nousa paru plus à propos de considérer les texte:s sur la fuite
, visant seulement la répression seront vus plus loin. 643- Alfenus (chez auteur anonyme) D 9.2.52 pr-1 ; D 11.3.16 ; Iavolenus D 9.2.38 ; D 24.1.50 pr-I ; D 47.2.75 ; D 49, p.27
, 15.6 pr (rescrit d'Hadrien)-I (idem}-2
, 3.8 ; D Il.3.10 ; D Il.3.12 ; D Il.3.14 pr-I
, -IO-11 ; D' 9.2.25 pr-I-2 ; D 9.2.27 pr (Celsus, Julien)-I (Proculus, U. Perox)-2 (Celsus)-3 (Julien, Marcellus )-5-6-17-28
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01158214
, (Pomponius)-9 (Pomponius) ; 042.5.9.5. 661- A. GUARINO, Diritto privato romano, cit., p. 883 ; bibliographie donnée in NNDI par B. ALBANESE, Damnum iniuria datum et C
, ? Si servUB sert.'o feaerit iniuriam, perind2 agendum~ quasi si domino
, On sut en effet que, dans le cas de blessures infligees ..a. un esclave, la Lex AquiZia
, r d'utilité que dans l'hypothèse où la détérioration de l'esclave av~it ét~ effectuée in contumeliam damini, dans le but d'offenser le maître (669) A ce sujet, un passage de Paul ne manque pas d'intérêt 665- En tenant compte des textes intégrables par a contrario, p.66
, pr ; 047.10.15.15-16-34-35-36-37-38-39 (Labéon)-4D-41-42 (Labéon)-43-44-45 (Mela)-46 (Labéon)-47-48-49 ; 047.10.17 pr-I-2 (Trebatius, Mela) ; 047, 1903.
, in Synteleia Arangio-Fuiz 1 (1964) p. 475 5.; CRIFO, Diffamazione e ingiuria (dir. rom.) in ED, DE- VILLA,iniuria ? in NNDI. 667- J. MACQUERON, Histoire des obligations, p.278
, Ulpien reconnaLt cependant qu'une injure peut être subie par l'esclave sans qu'elle ait été faite dans le but d'offenser le maître, Histoire des obligations, p.282
, maxime si verberibus veZ quaestion.e fieret : hanc enim et servwn sentire pa1.am est.) Dans ce cas, le préteur ne doit pas la laisser impunie, surtout si l'esclave a ~t~ frapp~ ou soumis à la torture, car, ~crit le juriste, il est évident que l'esclave en a souffert .?? si un esclave fait une injure à un autre ce qui signifie Quant à l'action prétorienne servi corrupti, elle punit le fait de favoriser la fuite d'un esclave ou d'exercer sur lui des pressions morales de manière à le corrompre (663). L' esclave n'apparaît donc plus seulement comme une chose à qui l'on peut causer un dommage, mais également comme un individu sur lequel est exercée une action psy~ho logique et qui peut
, 128 s. ; B. ALBANESE, Studi sulla legge Aquilia, AUPA (1950) et Note aquiliane AUPA, p.49, 1929.
, Appunti esegetici e note critiche in tema di Lex AquiLia, 1958.
, The origin of the Lex AquiLia s. ; SCHIPANI, Responsabilità ex Lege AquiZia, p.233, 1959.
, s, p.371, 1968.
, Si la libertê est accordée pure, le legs peut être conditionnel ou simple ; il se peut aussi que le legs soit simple et Si le testateur fait un legs à l'esclave qu'il lègue, le legs fait à l'esclave est ac1) s'il fait semblablement un legs à l'esclave qu'il lègue, et qu'il le vende? le legs ira Cependant, même dans ces cas, le legs est le signe d'un bon rapport car, contrairement à l'institution d'un heres necessarius, il ne comporte aucun caractère utilitaire. Signalons enfin que la donation est assimilable, du point de vue des rapports qui nous préoccupent, pp.144-471
, 5.25 ; Valens D 32, Pesasus, vol.12
, 88.6 ; D 33.2.36 pr-I (il s'agit dans ces deux paragraphes de l'usufruit d'un fonds) ; Tryphoninus D 31, Scaevola, vol.88, p.12
, Le rej~t de ces textes s'explique aussi par ce que ces legs" sont le plus souvent dépendants de la réalisation d'une condition tenant soit directement au legs, soit ~ la liberté. 966-W Le successioni, p. 378 ; A. GUAlINO , Diritto privato romano, cit., p. 420. Cet elclave doit appartenir au testateur ;.'il est affranchi i"te~ vi vos. il peut accepter la succession lui-même, il esi:-ilors her',:s !'olu,['ïrius'-{cr, p.505, 1974.
, La- On tjelÏt encor ajollter qu'il nI:., li pRS À. T'ropr~t:1ent rn.rl~!" bons rapports, mlilgré les app!U"ence~, 'luand l'esclave se porte RU seCOllrg de son maître en rjM.g~r d~ mort, il y est contraint (967), ('Ill qlllUld il dénonce les flSsRffiins de son maître, ce gp.ste pcuvant ne pas ~tre inspiré par l'attachement qu 1 il avai t pOllr lui, ma.is simplement par l'espoir d'une liberté prochaine (968) En sens inve~se, on ne peut pareillement interpréter comme bons rapports le fait que le maître se cbar~e de faire instruire l'esclave (969) ou de lui faire prodiguer des soins (970), dans un cas comme dans l'autre, ces ~ctions pouvant être liée~ à un souci de rentabilité. La défense en justice par le maître constitue semblablement un rapport normal, celui-ci y ayant un intérêt patrimonial (971, maître qui déclare faussement aux magistrats que son esclave est libre, pour que celui-ci ne soit pa5 châtié, peut anopter cette attitude non pas pobr évit~r à l'esclave le châtiment
, \T un tiers (973) ou est institué h~rit:i""r pFlr lui, l'institution n'~yant pl us le même caractère obI igatoi:-~ qu' R.lrpare.v'1nt, l'escl!lve n' acceptant la succession que si son maître lui en donn~ le i~~su~
, Il faut noter que si un maître vend un esclave et lui ôte la liberté ensuite, l'ademptio libertatis ne produit pas d'effet car alieno inutiZiter adima~~ (cf. Paul D 34.4.26 pr) ; cependant si, dans la même hypothèse. le testateur avait fait un legs à l'esclave, celui-ci serait annulé
, le texte indique simplement que l'esclave est mort par la crJ.lpa de celui en la puissance duquel il se trouve, 1024.
, ali~ner un esclave pour qu'il ne puisse parvenir à un maître plus doux que lui (1025) Des esclaves sont prostituées par leur maître, pratique qui, si elle est vraisemblablement d'un bon rapport financier, évoque par contre un piètre rapport humain (1026) Des ~sclaves sont abandonnés (1027). D'autres ne sont pas défendus en justice par leur maître, 1028.
, Il est intéressant à ce sujet de rappeler que l'esclave "interroge" en matière d'adultère est soustrait à la puissance dominicale pour qu'il ne craigne pas de dire la vérité (1029)
, esclave peuv~nt se borner à un simple refus, refus d'obéissance (1032), refUS d'accomplir la volonte du testateur (1033), refus pour l'esclave affranchi d, 1034.
, 3.2 ; Ulpien 029.4.1.3 (il refuse d'accepter une succession alors que son maître le lui ordonne)
, 52 (l'esclave refuse de demeurer chez l'héritier comme le lui intimait le testament de son maître)
, Un esclave accusé d'un délit avoue quelque chose à l'encontre de son maître (cf. Ulpien D 48.18.J.19 rapportant sur ce point un rescrit de Trajan) 1038- Alfenus {chez auteur anonyme) D 40, Labéon, vol.1, issue.1
, 5 ; 0 ".4.1 pr-I-2 (epistula de Marc-Aurèle et Commode)-3-4-5 (Labéon)-6-7-8 ; D 11.4.3 (rescrit maître \, lO~.9) 011 du ref·us je le 5r~::ourir alors ({11'il es"t en danger de mort (1040)~ d"J. suicirte (101~1), du 5abot3.~e '1Q it2), autant de fermes sur lesquelles on revien~ra plus loin, Il nlest pas étonnant que de tels actes susc·itent la. peur des maîtres. Cette peur ressort de manière evidente dans les espèces suivantes : Papinien signale lm esclave venQU à c.:mtiiti:m qll' il ne restera pas dans lIn endroit .jétermine. c,:,lll pour la sécurité du vendeur Marcien evoque dlautre pR, 1043.
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00344368
, analyse st,ll.tistique 7 il nous reste encore Il Un t~l rapport apparaît dans des espèces diverses. On a évo~lé précédemment un esclave remettant lme somme à un tiers pour que celui-ci ne dévoile pas un vol qu'il avait commis; or, il le dénonce (1o~8) Un esclave s'enfuit de c
, 9.9 pro 1043- 1044- 1045- Damnum causé par l'esclave au maitre (cf
, 62 pl:" ; Gaius D 1~1.2.15 ; Sc.<tevol;t n 40
, Caelius Sabinus)-7 (idem)-8 (idem)-9 (idem)-IO (idem)
, Caelius Sabinus)-13 (Caelius Sabinus, p.14
, Pomponius) ; 0 47.2.36 pr (Pomponius)-2 (Sabinus. Pomponius)-3
, 50 pr-I-2-3-4-5-6
, On voit mp.me un msri contester l~ statue de s~ fPJmDe, qui est son affranchie (1115) ??. On peut aussi deceler de mauv~is rapports posthumes : il en est ainsi lorsque le patron ne cherche pas à ce que la lumière soit faite sur l'assassinat de SOD affranchi (1116) En effet, même s'il s'agit d'une simple négligence, la mort de l'affranchi ne semble pas beaucoup le peiner. Inversement, dans le sens 8ffranchi-p~tron, l'affranchi qui, après la mort de son patron, dénonce le commerce prohibe que celui-ci pratiquait , ne fait guère preuve de respect pour sa memoire (1111), de même, ccuser SMS fondement, 1111.
, 14 pr ; D 38.2.16 pr-I-2-3-4 (re
, Un fils revendique comme esclaveal'affranchi de son pè~, cf
, un patron accuse son affranchi d'avoir voulu attenter 1 sa vie (cf. Ulpien D 38.2.14.10) Un patron témoigne contre son affranchi dans une accusation capitale intentée contre lui
, prête son ministère 1 l'accusateur de l'affranchi (cf. Ulpien 0 38.2.14.9) Celui qui intente l'accusation cal~ nieuse perd ses droits 1 la bonorum
, un mauvais rapport, l'accusation, même fondée,n'évoquant pas, de ~8nière évidente, une entente cordiale entre patron et affranchi. 1115- Paul D 40.12.39.3. Les textes concerriant une rupture de la vie commune entre patron et affranchie, posant un problème tout-à-fait spécifique
, 134) parle de travail noir. crest l~ selon lui un caractère essentiel de la fuite Cette vision. bien que méritant d'être prise en considération, cantonne l'esclave dans un rôle par trop passif, ne ~orres pondant pas avec la réalité que nous livrent les textes du Digeste. 1171-L'esclave peut se trouver chez celui qui l'a enlevé (Mela)} mais il peut Il est aussi question de possession de bonne foi d'un esclave fugitif chez Pomponius D 41, la fuite procure à l'esclave une espèce de liberté car
, s. : CARCATERRA" Il servus fugitivus ed il possesso 158 s. ; P. BONETTI, In tema di se.vus fugitivus, in Synteleia Arangio -Ruiz II, p. 1095 s s. ; F. PRINGSHEIM, Acquisition of ownershipthrough serVU8 fugitivus, p. 603 s. ; G. LONGO, Animo ~tinere p08ses- sionmrr, pp.850-220, 1928.
, Professionisti e no : il fugitivariu8, SynL Arangio-Ruiz l, p. 237-239. 1182- Ulpien D 19.5.15. Un maître charge son ami, qui part_pour un lon& voyage
, on n'avait pas coutume de surveiller est considérée comme un cas fortuit, au même titre qu~ la mort des animaux, les inondations, l'irrurtion de brigands
, 1176- V. par exemple dans le titre consacré à l'édit des édiles: Pomponius D 21, IuraLabéon, vol.23, p.174, 1972.
, s. 1186- G. LONGO,'Ricerche romanistiche s L'esclave est rendu vitior par sa fuite: s'il a un pécule, et Iura, vol.23, pp.31-571, 1968.
, 9 p. 47 s., 505. ; sur ceux existant entre plagiwn et act1:o $er1J1~ corY'71pti, ibid. 9 p. 46 s., 50 s. ; criti.queoe a. U)Nhf), p.176, 1972.
, La tex Fabia punit, pp.1184-1229
, Ad stah,as confugRPe, SDHI, vol.12, p.p, 1946.
, amende prévue par la tex Fabia atteint 50 1188- Cet aspect de la lutte contre Ès fuites d'esclaves semble s'être intensifié sous les Antonins, H. BELLEN. Sklavenflucht, cit, pp.239-284
, 4 : ne inquit, in potestate servorum ait invitis veZ. ignorantiblfs dominis fugae se tradendo potestati dominorum se subtrahere, Chez Marcien D 39.4.16
, FUgitivi simpLice. dominis reddendi sunt 8ed si pro Zibero se gesseroint, gra't'ius coert~eri soZent. Si l'on en croit la diversité chronologique des juristes qui font allusion à ce problème, il est fréquent que des esclaves fugitifs se fassent passer pour des hommes libres, Labéon, issue.2, p.19
, 3.15.1) Relevons enfin cette espèce originale: selon Alfenus (chez
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/lirmm-00324073
, 12~ 10), si un individu, se troevant de fait dans un état servile et se sachant libre, s'enfuit de chez son prétendu maîtr1!, il est considéré comme esclave par le seul fait qu'il est en fuite, et ceci même, poursuit Gaius (D 40.12.11), s'il se comporte pendant sa fuite en hômme libre r 1201- V. supra n
, c'?s deux iurr:I n'est p~ un rapport de v~lorisation mais Q'~teriorité (S) L'~ffirm~ tian en vertu de laquelle l'esclA.vage a ~t':; introduit paT le ius gf?-ntium, alors que, sous le ius naturat~, tous les hommes naissaient libres, ne tend pas à porter atteinte à l'institution de l'esclavage, mais
, élément patrimonial interchangeable. représentation de l'esclave par et dans son uti- L'esclavage est assimilé à la captivité (7), à la détention (8)~ mai~ également à la honte, ignominia (9) L'homme libre pris pour un
, critique cette idée et soutient que les améliorations sporadiques de la condition servile n'ont jamais visé que la limitation de l'arbitraire dominical, p.232
, Hermogénien définit la liberté par rapport à la servitude comme un status honestior (lh)
, les associations prati~lées par les juristes avec le terme manumissus~ bien qu'étant dues aux n~cessités de dévei~ppe ments juridiques, ne sont pas moins intéressantes. On voit ainsi, dans un même texte, l'affranchissement en relation avec la vente (15), l'aliénation (16), le legs (17) d'un esclave
, 6.3 pr. 16- Iavolenus 0 32
, mais il en est de même de la prodigRlité (59) De manière moins évidente, d~s esclaves gourmands (60), gros mangeurs (61), vola~es (62), timides (63), superstitieux (64), lunatiques (65), tristes (66), déprimés (67) sont de mauvais esclaves. Il est vrai que l'esclave qui tente de se suicider
, aimer les spectacles, la peinture est un vitium animi plus qu'un vitium corporis (69) 1 On note encore, d'un point de vue 51- Venuleius D 21.1.65 pT
, 2 (Pomponius) : ce défaut ne tomberait pas .<;;r:1I5 le coup de l'édit, J, vol.4
, par~graphes traitant de qualites (72) ou de defauts (73) d'esclave par r~pport au nombre total de textes concernant ces rubriques pOUT ch~que periode, on obtient: 70- Pomponius D 10
, 1.34 pr-I ; D 21.1.51 pr-I ; D 30
, S (Vivianus)-6 (Ca~lius S~binus)-7 (Ca~lius Sa b inus)-8 (Caelius Sabinus)-9 (Caelius Sabinus)-IO (C~elius Sabinus)-II -12 (Labéon, Caelius Sabinus)-13 (C;lelius Sabinus)-14 (Labéon)-15 , Caelius Sabinus)-16 (Caelius Sabinus)
, il est beaucoup plus question de "mauvais" affranchis que de "bons" affranchis (74) C'est là une pièce. à conviction suppl~mentaire apport~e A l'id~e d'une continuité entre la condition de l'esclave et celle de l'affranchi. v. par exemple Venuleius D 21.1.65 pro 77- 65 pr-I
, ) ; Iavolenus D 40, Lab?on, vol.1, p.26
, 107.1 ; Caius D JO
, agent ne se limite pas au contexte du titre et apparaît plus diffus par rapport au rôle d'objet chez Julien 0 30 pr ; Ulpien D 30.91. 100- On doit ainsi retenir
, pr ; 0 5.3.20 pr-I (Julien)-3 ; D 5.3.27 pr
, 13 (Cartilius) ; 0 13
, 0 19.5.13.1 (Julien)1 (Julien) ; 020.1.27 (Harcellus) ; 020.2.6 (Pomponius)
, pr (S.binus)-I ; 033.7.12 pr (Serviu<)-2 (Al- fenus}-3 (Labéon, Pegasu, p.35
, Papinien)-42 (Papini~n)-44 (Papinien)-45 (Parinien)-46 (Papinien)
, 0 18.1.78 pr (Labéon)-I (Labéon)-2 (t.abéon) ; 0 18. 1.79 (Trebatius, Labéon), pp.18-19
, L:)1 ? DO.-I.n
, ]:lrr; OÇl. 2 .......) rr-1-2-.1-4J D9.2.-181 DO.2.55: 11~.-I.·ll'r-I-2-:11 [j0
, 2flrl·-1-2-.1-·I-5-6; DQ.·Jo..l1. DO.I.1.111 DO.2.:I: 09.2.:;p,--J: 00.2
, JOpr-l-l; D!) ? .!.:H; T>9.2.1;.)pr; D?.2 ?, pp.15-16
, 2-8; 011.1.IGpr-l; Dll.I.17, DII.3.lpr-I-2-3- 4_>; IJl1.3.3pr-I, Dll.a.~pr-1-2-3-4
, iua Marcellus Flnrent.inull 8c ??Tola P. pin i en 028
, 101.1; Dao.l08pr -1-.!-a-·1-5-11-11-H-H·,; oa Dao
, 65pr-l; D30.67pr; D30.68.1-2-']; 030. 69pr-l--I D30. 70 pr-2-3
, 1-3-4 ;D30. 75.3-·1; Dno
, 1-lpr; D·16.3.9pr-l; DI6.3.18; Dt6, J, vol.229
, tin 0 lIerlD
, 3-4-ll-12-lfi-2:J-~-;-2fl-28-2lJ;IH7.4. lpr-I-2-3- 4-r
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URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/in2p3-00198676
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, Section 2?????????? Paragraphe 1. Les termes désignant l'affranchi ??.????? 1. Statu Ziber : une situation transitoire ????..?? II, Manumis8US ...?...??.?.??......?....??
, ? Conclusion de la première partie Par~raphe 2
, 1. Unions entre personnes de même condition. a. entre esclaves, ? 2. Unions entre personnes de conditions inégales ?.??.?.??..?.????..??......????
, ? 1. Unions ayant trait à des esclaves a. le maître a pour concubine une de ses esclaves, Les unions nouées en dehors du groupe des esclaves??.??.?.????..?...?
, Unions aYant trait à des affranchis a. l'union est nouée avec le patron b. autres cas, ?..?......?..??..??...?.?, vol.2