Jeudi noir et DAL utilisent donc le squat comme un mode de mobilisation ,
une « occupation sans droit ni titre ». Il s'agit, alors, d'une action qui outrepasse certaines règles ? le droit de propriété ? pour en légitimer d'autres ? le droit au logement. Cette forme de désobéissance qui consiste à entrer dans l'illégalité pour se loger ,
Gouverner l'illégal. Les politiques urbaines face aux squats à Paris, mémoire de recherche, Sciences Po, 2010. ,
« Réguler et policer les squats à Paris Politiques publiques et construction de l'ordre », Working papers du programme Villes & territoires URL : http://blogs.sciences-po.fr/recherche-villes/files, Sciences Po, 2010. ,
Les mondes du squat. Anthropologie d'un habitat précaire, 2009. ,
L'état du mal-logement en France : 17 e rapport annuel, 2012. ,
Les squats, 2010. ,
Jeudi noir ou les « nouveaux militants », mémoire de master, université Paris-8, 2008. ,
« Entre résistance et contestation. La genèse du squat comme mode d'action », in Travaux de science politique de l'université de Lausanne, pp.3-51, 2006. ,
deux usages du squat dans la lutte contre le mallogement, 2012. ,
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01024562