La gauche italienne face au mouvement pour les libertés civiles des sans-papiers - Sciences Po Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Critique Internationale Année : 2007

La gauche italienne face au mouvement pour les libertés civiles des sans-papiers

Résumé

Dès le lendemain des diverses élections du printemps 2006, le champ politique italien a été marqué par unereprise véhémente des discussions concernant la rétention administrative des étrangers sans papiers. Le conflit s’est focalisé sur les Centres de permanence temporaire et d’assistance (CPTA) institués en Italie par la loi 40/1998, dite Turco-Napolitano, du nom de ses rapporteurs : Livia Turco, actuellement ministre de la Santé, et Giorgio Napolitano, le nouveau président de la République, tous deux éminents dirigeants des Démocrates de gauche (Democratici di Sinistra - DS) et anciens membres du PCI. À l’époque, cette loi avait été votée par l’ensemble de la majorité gouvernementale, y compris par les partis de la gauche radicale qui s’y opposent maintenant. En effet, si elle n’a jamais été une des questions les plus débattues ou les plus mobilisatrices au sein de l’espace public italien, la rétention administrative constitue l’un des pivots des dissensions et oppositions internes à la coalition de centre-gauche aujourd’hui au pouvoir. [Premier paragraphe]
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hal-01021482 , version 1 (09-07-2014)
hal-01021482 , version 2 (23-05-2018)

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Citer

Bruno Cousin, Tommaso Vitale. La gauche italienne face au mouvement pour les libertés civiles des sans-papiers. Critique Internationale, 2007, 37, pp.9 - 21. ⟨10.3917/crii.037.0009⟩. ⟨hal-01021482v2⟩
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